Le terme « chemin vicinal » est un terme couramment utilisé dans les municipalités, mais pour bien comprendre son utilité et sa spécificité, il est important d’en apprendre davantage sur le sujet. Vous trouverez ci-dessous quelques informations qui peuvent aider les citoyens.
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Généralités sur la voie vicinale
Selon la définition du dictionnaire, la route vicinale est une route qui relie des villages ou des villages. Au niveau juridique, il s’agit d’une voie publique appartenant à la municipalité et inscrite dans l’atlas ou reconnue par le conseil municipal.
Au XIXe siècle, les routes étaient classées en deux catégories : les routes départementales et les routes nationales relevant de la responsabilité du ministère des Travaux publics et des routes des victimes affectées au personnel du Conseil général.
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En ce qui concerne le principe de subsidiarité, il comprend également deux autres sous-catégories : les routes reliant les capitales communales et la capitale du comté, également connue sous le nom de grandes localités, ainsi que les routes rurales. et la route de la ville également connue sous le nom de petites localités.
Ainsi, le sentier sacrificiel est une voie publique supportée par la municipalité. En plus de cela, il est inscrit dans Atlas.
L’Atlas
L’Atlas est un ancien plan créé vers les années 1800, plus précisément entre 1843 et 1845. Il regroupe tous les chemins de victimes ouverts au public et aide la municipalité à gérer le patrimoine culturel. Pour inclure un chemin, une approche administrative doit être suivie. Pour des fins d’orientation, cet atlas se trouve dans le département de planification de cette autorité locale. Si la municipalité dispose de ce plan, quelle autre responsabilité a-t-elle par rapport à la voie vicinale ?
Loi sur la route Vicinal
Au départ, c’est la municipalité qui s’est occupée de l’entretien de la route vicinale et de sa réhabilitation. En ce qui concerne les itinéraires collectifs, cependant, les charges dépendaient des avantages dont ils pouvaient bénéficier. Conformément à l’article premier de la loi du 12 juillet 1844, les fonds utilisés pour les travaux proviennent de taxes équivalentes pour différents types de prestations, y compris celle qui correspondait à une journée de travail pour un citoyen de sexe masculin âgé de 18 à 60 ans.
Actuellement, l’entretien ou non de la route vicinale dépend du fait qu’il s’agit d’une route rurale ou commune. Selon le Code de la route de l’article L.161-1, le premier est la propriété privée de la municipalité, tandis que selon le même texte de l’article L.141-1, le second fait partie de la voie publique (lagazettedescommunes.com/67101/Obligation-D%E 2% 8099maintenance ofcommune/).